« Il y a deux choses qui me paraissent essentielles pour réussir la révolution digitale. Premièrement, il faut qu’elle soit une révolution digitale inclusive. Malheureusement, aujourd’hui la moitié de l’humanité n’est toujours pas connectée à l’internet. Nul n’est sans savoir que pour vivre sereinement et dignement sur le plan sanitaire, économique, de l’éducation, la formation… il faut être connecté.
Deuxièmement, pour plus de sécurité, pour l’éradication de la violence, pour la paix, pour le dialogue interculturel…, les nouvelles technologies peuvent constituer une grande proximité. A ce titre, les gouvernements et les compagnies technologiques doivent également combattre l’utilisation des réseaux sociaux pour des fins de haine ou d’incitation à la violence. Les réseaux sociaux doivent devenir des plateformes de paix, du développement et du dialogue ».
