« Je retiens que les grandes Plateformes de distribution et d’échanges captent 80% de la valeur et de la croissance des budgets des annonceurs mais ne représentent que 20% de l’inventaire publicitaire disponible. Ainsi, les consommateurs qui plébiscitent ces géants du net consomment avant tout des contenus. Si nous voulons continuer à consommer ces contenus, il est nécessaire de travailler à une meilleure répartition de la valeur. Le programmatique, hors réseaux sociaux, qui ne représente aujourd’hui que 7% des investissements digitaux peut nous y aider, avec une distribution plus agnostique des budgets et sa capacité à adresser l’ensemble des objectifs des annonceurs du branding à la performance ».
