« Pour qu’il y ait coaching, il faut qu’il y ait une demande. Et pour qu’il y ait une demande, il faut que les parents ou l’enfant vivent une certaine «confusion». Cette confusion peut donner lieu à une souffrance exprimée ou latente. Quand les parents se présentent à un coach c’est pour essayer de clarifier une vision, un sentiment et prendre une décision. Souvent, cela demande un sens de la communication élevé et une intelligence émotionnelle avérée. Combien même on a ces deux qualités, face à ses enfants on peut les perdre. D’où l’intérêt d’un accompagnateur externe qui est neutre et qui n’est pas impliqué émotionnellement. »
