« Il y a un impératif de base : oublier toute ambition de vouloir agir, avec le storytelling, comme on le fait avec une stratégie de communication classique. C’est-à-dire : il faut oublier l’objectif primordial de délivrer un message à une cible, en cherchant à avoir un maximum de contrôle sur ce message. Le storytelling ne fonctionne pas du tout comme cela. Ce n’est pas une histoire que l’on raconte à un public. C’est une co-création, un partage, une connexion entre plusieurs histoires, un dialogue et non pas un monologue, avec un abandon d’une partie du contrôle sur le message, laissé entre les mains du public-partenaire de communication. C’est plus du story-co-making, que du storytelling, en réalité ».
