Le support change même de nationalité, il devient japonais. En effet, après près de 60 ans passés au sein du groupe britannique Pearson, le Financial Times, passe sous le giron du japonais Nikkei. Le cout de l’opération s’estime à 1,2 milliard d'euros, selon un communiqué de Pearson. Coté rentabilité, le support a généré en 2014 un revenu estimé à 334 millions £ soit 471 millions €. Sur le registre de la diffusion le Financial Times revendique, aujourd’hui, une diffusion quotidienne de 737 000 exemplaires, dont 30% en print et 70% en digital, le mobile drainant pratiquement plus de 50 % du trafic.
