COTE D’IVOIRE :
La Côte d’Ivoire Table Sur Une Production De 350 000 Tonnes de Coton en 2017/2018 : « En Côte d’Ivoire, Les Prévisions Relatives à la Production Cotonnière de 2017/2018 S’établissent à 350 000 Tonnes. C’est ce qu’a indiqué à Reuters, Christophe N’Dry, Secrétaire Exécutif de l’Association Des égreneurs Ivoiriens. Si Ce chiffre marque Une légère Hausse de 10 000 Tonnes par Rapport à la Saison Précédente, il Reste Toutefois Inférieur aux 450 000 Tonnes Récoltées au Cours de La Saison 2014/2015.La Côte d’Ivoire, Troisième Producteur Ouest-africain De Coton Derrière le Burkina-Faso et le Mali, Prévoit D’en récolter 600 000 Tonnes à l’horizon 2020. Afin D’atteindre Cet objectif De Production, la Nation éburnéenne Mise depuis Quelques années sur Une Forte Valorisation Du prix Garanti aux Producteurs. Se situant à 265 francs CFA/kilogramme en 2016/2017, Ce prix est le Plus élevé De la Région Ouest-africaine…»
GHANA :
La Dette Du Cocobod s’élève à 2,2 Milliards De dollars : « La dette du Conseil ghanéen Du Cacao (Cocobod) Avoisine les 10 Milliards De Cédis, soit 2,2 Milliards $, rapporte Bloomberg. Ce niveau D’endettement Record est Dû à Plusieurs Facteurs. A l’interne, d’après Noah Amenyah, porte-parole du Cocobod, l’institution N’a pas atteint Ses Objectifs en Termes de Recettes D’exportation l’année Dernière. Cela s’explique par Une Production Plus Faible que Prévu. Alors qu’il anticipait Une récolte de 850 000 Tonnes, le Conseil a Dû Se Contenter Des 778 000 Tonnes à Cause D’une Météorologie Défavorable. Ainsi, le Régulateur n’a pas pu Supporter Les frais de Certains De Ses Projets. Parallèlement, M. Amenyah souligne que les Dépenses De Construction Des Routes Dans les zones de Production de Cacao lors de la Dernière Saison de Production ont été cinq fois Supérieures au Niveau Des Recettes Annuelles Requis, soit 150 Millions $...»
BURKINA FASO:
La Banque Mondiale Accompagne le PASEL, à hauteur de 80 Millions $ : « La Banque Mondiale a Alloué au Burkina Faso, 48 Milliards De Francs CFA (environ 80 Millions $) Pour la Mise en œuvre Du Projet D’appui au Secteur De l’électricité (PASEL). Ce financement, qui est le Deuxième Accordé Par l’institution au Projet, ira Essentiellement à l’intégration De l’énergie Solaire Dans le mix énergétique National ainsi qu’au Renforcement Du Réseau électrique. Une part Sera en Outre Destinée au Renforcement Des Capacités Des Acteurs Du Secteur ainsi qu’à l’assistance Dans le Développement Des Projets avec les Producteurs Indépendants D’énergie. « La Banque Mondiale est prête à Accompagner le Gouvernement qui Ambitionne De Couvrir 100% De Ses Besoins D’électricité en Milieu urbain et 40% en Milieu Rural en Fournissant Une électricité Fiable et Abordable d’ici 2025.», a affirmé Cheick Kanté , le Représentant Résident de la Banque Mondiale Au Burkina Faso...»
CAMEROUN :
D’ici 2019, Eneo vise 35 MW de Solaire Dans Les trois Régions Septentrionales : « La société Eneo, Concessionnaire Du Service public De l’électricité au Cameroun, se Prépare à lancer Un Appel à Manifestation D’intérêt, en vue Du Recrutement d’un Prestataire Devant Installer Une Centrale Solaire d’une Capacité de 10 MW Dans la Ville de Ngaoundéré, Capitale Régionale De l’Adamaoua, Dans la partie Septentrionale du Cameroun. Selon Eneo, Cette Centrale Solaire Devrait être Opérationnelle, à l’horizon 2019. Dans le Même Temps, apprend-on de Sources Internes, à Cette Entreprise Contrôlée Par le fonds D’investissement Britannique Actis, il est Projeté la Construction De Deux Autres Centrales Solaires Dans Les villes de 2 autres Régions du Septentrion. Il s’agit de Maroua (15 MW), Dans la Région de l’Extrême-Nord, et Guider (10 MW), Dans la Région du Nord…»
NIGERIA :
Le Nigéria Veut lever 1,2 Milliard De Dollars Pour Améliorer Sa Capacité de Raffinage De Pétrole : « Jeudi 8 juin 2017, Ibe Kachikwu, le ministre Nigérian en Charge Du Pétrole, a Déclaré Que Son Ministère Travaille à Mettre en Place Un Plan Pour lever 1,2 Milliard De Dollars. Ces fonds Serviront à Améliorer la Capacité de Production Des Raffineries de Pétrole Du pays, rapporte Reuters. Cela Devrait lui Permettre de Tourner le dos aux Importations De Pétrole Raffiné dès 2019. « Nous avons Mis en Place Un Comité Technique qui Prépare un Document à cet effet. Ce Document Devra Recevoir le visa du Conseil exécutif Fédéral avant D’être Présenté aux Parties Intéressées », a expliqué l’officiel. Les raffineries Publiques Produisent Quotidiennement 6 Millions De litres De Carburant alors Que la Demande s’élève à 35 Millions De litres. La différence Provient Des Importations…»
En 2016, le Nigéria a dépensé 14,9 milliards $ en importation de pétrole raffiné : « Bien Qu’étant l’un des Plus Gros Producteurs D’or Noir Sur Le Continent Africain, le Nigéria Importe le 5/6 de Sa Consommation Journalière De Produits Pétroliers. En 2016, Ces Importations Se Sont Chiffrées à 14,9 Milliards De Dollars, ce qui Représente l’équivalent De 30% Des Devises étrangères de la Banque Centrale Du Nigéria. Les raffineries locales Produisent 6 Millions De litres par Jour alors Que la Consommation Journalière Totale de la Fédération est de 36 Millions De litres. Une situation qui trouve son Explication dans la vétusté Des installations de Raffinage, Selon Kachikwu. D’après le Ministre du Pétrole, Ibe Kachikwu, les importations étaient de 20 Millions de Tonnes Entre Janvier et Décembre 2016…»
Crédit : IMPERIUM MEDIA
