«Dans l’acte de consommer des produits culturels, le pouvoir d’achat y est aussi pour beaucoup. Payer 50 DH pour voir un seul film, la majorité des marocains aujourd’hui ne peuvent pas se le permettre. Entre, acheter 2-3 jeux pour console vidéo à 600 DH chacun chez la FNAC ou payer l’unité à 15 DH à Derb Ghallef, les consommateurs ont fait leur choix. Et tant qu’ils l’assument, ça se peut se comprendre ».
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